Une petite pépite piochée au hasard dans ma bibliothèque (que j’ai renoncé à ranger).
« La fille automate »de Paolo Bacigalupi.
Une petite pépite piochée au hasard dans ma bibliothèque (que j’ai renoncé à ranger).
« La fille automate »de Paolo Bacigalupi.
Après de nombreux mois de travail vous avez enfin terminé votre manuscrit. Un petit retour d’expérience sur l’autoédition.
Pour compléter l’article « Ô grands Maîtres !« , il m’a semblé judicieux, puisque nous faisons connaissance, d’ajouter à la première liste, celle de mes auteurs préférés. Je me contenterai aujourd’hui de les inventorier. Je les détaillerai ainsi que leurs oeuvres dans des articles que je leur consacrerai sous le titre « Mes petites perles » À noter que cette rubrique contiendra également les belles surprises littéraires que le hasard aura mis entre mes mains.
Si pour la multitude, auteur ce n’est pas un vrai métier, alors que dire des auteurs autoédités. Tous aux abris, ça va saigner !!
La haute institution littéraire (éditeurs et médias) entretient l’idée qu’un auteur qui ne passe pas par le filtre de l’édition traditionnel n’est pas un vrai auteur. Et pourquoi donc ? Lorsqu’un acteur troque les lumières des projecteurs pour prendre la caméra, il est applaudi. Pour quelle raison un auteur qui s’autoédite est-il conspué, humilié, moqué ?
Le métier d’auteur ne se suffit pas financièrement à lui-même et en France, personne ne s’en émeut.
– Pour l’élite…
La littérature est une tâche trop digne, trop vénérable pour oser la profaner avec des préoccupations d’ordre financier.
Franchement, on est au 21e siècle. Il serait peut-être temps de replacer la littérature à sa place. Un emploi – artistique certes – quelconque, pareil à docteur ou magasinier.
J’aimerais vous parler des grands Maîtres, de mes grands Maîtres à moi, ceux qui m’ont nourri de leurs mots, su exalter mon imagination, ceux qui ont façonné l’écrivaine que je suis devenue.
J’ai lu Stendhal, Descartes, Hugo, Proust ou Sartre, par obligation au lycée puis ensuite par choix. En dépit de mes études scientifiques, je possède une culture littéraire solide et bien que j’écrive de la Fantasy mes textes ne consistent pas en une succession de verbes être ou avoir. Voilà qui est dit. Ces grands noms ont sans aucun doute contribué à donner une colonne vertébrale à mes écrits toutefois, je ne les considère pas comme mes Maîtres.
Je voudrais abordé un sujet qui me tient particulièrement à coeur, la condition des auteurs en France.
Dans notre beau pays, la littérature est mise sur un piédestal, un patrimoine précieux à l’instar des cathédrales et des églises. Les écrivains tiennent le rôle d’ambassadeurs de la culture française. De ce fait, ils sont adulés, admirés, respectés, « peopléisés », « starisés ».
Toutefois, strass et tapis rouges masquent un envers du décor des plus sordides.
Bienvenue cher(e) visiteu(r ou se) sur mon blog. Je m’appelle Lucie Dyal. J’écris de la Fantasy mais aussi des contes, des nouvelles et de la science-fiction.
Ma dernière œuvre « Les voleurs de destins », plus mûre, plus aboutie m’a convaincu de me lancer dans la grande aventure de l’édition.
Je suis une auteure autoéditée… Je sens grandir en vous, cher(e) visiteu(r ou se), un malaise. Autoédité = amateur, auteur factice.