Le métier d’auteur ne se suffit pas financièrement à lui-même et en France, personne ne s’en émeut.
– Pour l’élite…
La littérature est une tâche trop digne, trop vénérable pour oser la profaner avec des préoccupations d’ordre financier.
Franchement, on est au 21e siècle. Il serait peut-être temps de replacer la littérature à sa place. Un emploi – artistique certes – quelconque, pareil à docteur ou magasinier.